« Dans un marché où le ratio ventes/nouvelles inscriptions atteint 75 %, et où les maisons trouvent preneur en 2 à 4 mois seulement, afficher une propriété au mauvais prix, c’est comme lever la main au mauvais rythme d’une chanson : tout le monde arrête d’écouter. »
(Sources : APCIQ, Centris, Nesto — données 2025)
Une histoire qui en dit long
Dans les Laurentides, j’ai vu une propriété à Sainte-Adèle qui cochait toutes les cases : rénovée, bien située, terrain intime. Pourtant, le prix demandé dépassait les comparables d’environ 10 %. Les acheteurs visitaient, admiraient… puis repartaient. Trois mois plus tard, toujours aucune offre. Non pas parce que la maison n’était pas désirable, mais parce que les acheteurs savaient que le prix ne suivait pas la logique du marché.
La leçon universelle
Un prix trop haut ne déclenche pas de négociations. Il déclenche du silence. Les acheteurs ne veulent pas gaspiller leur énergie à soumettre une offre qu’ils savent condamnée d’avance. Leur réflexe est simple : passer à la prochaine maison.
Les impacts d’une surévaluation
- Perte de momentum : les premières semaines sont capitales. Une mise en marché mal positionnée fait rater l’effet nouveauté.
- Suspicion grandissante : plus une propriété reste longtemps en vitrine, plus les acheteurs se demandent : « Qu’est-ce qui cloche? »
- Résultat contre-productif : ironie du sort, les propriétés surévaluées finissent souvent par se vendre moins cher que celles affichées au prix juste dès le départ.
La stratégie gagnante
Dans des marchés tendus comme Saint-Jérôme ou Mirabel, un prix ajusté au marché crée un effet boule de neige :
- plus de visites,
- plus d’acheteurs intéressés,
- plus de compétition,
- et au final, une meilleure offre pour le vendeur.
Un prix juste n’est pas une concession. C’est une stratégie d’affaires.
Conclusion inspirante
Vendre une maison, ce n’est pas seulement une transaction, c’est une mise en scène. Et dans cette pièce, le prix est le premier dialogue. Mal écrit, il fait fuir l’auditoire. Bien calibré, il captive, génère des applaudissements et se conclut en ovation.
Un excellent courtier immobilier ne vend pas du rêve, il vend une stratégie alignée sur les chiffres du marché. Et c’est exactement ce qui fait la différence entre une propriété qui traîne… et une propriété qui se vend.
Conclusion – Passez à l’action
Dans un marché aussi dynamique que celui des Laurentides, le prix affiché est bien plus qu’un simple chiffre : c’est la clé qui ouvre la porte aux bons acheteurs. Ne laissez pas une surévaluation freiner vos chances de vendre rapidement et au meilleur prix. Contactez notre équipe dès aujourd’hui pour une évaluation réaliste et stratégique de votre propriété. Ensemble, transformons votre vente en succès.